Congrès international de l’ARIC – 23 au 27 mai 2017

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Nouveaux contextes et nouvelles pratiques interculturelles : Globalisation et circulation

L’Association sur la Recherche InterCulturelle (ARIC) est une association à but non lucratif, fondée en 1985 par des chercheurs francophones avec l’objectif de fournir un réseau scientifique, international et interdisciplinaire aux chercheurs et aux professionnels qui travaillent à l’interculturalité en langue française.

Progressivement, ce groupe s’est élargi à des chercheurs d’autres continents, en particulier des pays de l’hémisphère sud, de l’Afrique du Nord, de l’Afrique Centrale, de l’Europe Orientale, de l’Amérique Latine et, plus récemment, de l’Asie, intégrant notamment des chercheurs de l’Inde, du Vietnam, du Cambodge, du Laos et du Japon.

Actuellement, l’ARIC compte plus de 200 membres issus d’horizons variés favorisant le dialogue Nord/Sud ; elle a ainsi élargi ses objectifs et ses moyens de communication. Depuis sa fondation, elle a organisé plus de 15 congrès et 14 colloques internationaux, en plus d’avoir créé une revue scientifique en ligne, Alterstice, une collection Espace Interculturel dans les Éditions de l’Harmattan. Ses manifestations et productions scientifiques s’inscrivent dans l’esprit d’ouverture et de dialogue transdisciplinaire des questions interculturelles.

Les axes thématiques

  • Circulation des modèles, des idées et des savoirs : diffusion et réseaux (numériques, familiaux, associatifs, éducatifs, scientifiques) ; appropriation et adaptation.
  • Circulation des ressources et des biens : droit international et protection des ressources naturelles.
  • Migrations et déplacements de population : guerres et conflits ; questions écologiques et changement climatique ; radicalismes ; tourisme et développements (tourisme et conservation de la biodiversité, tourisme et santé, tourisme éthique) ; mobilités.
  • Définition et redéfinition des frontières : état-nation ; espaces supranationaux ; frontières et échanges économiques (flux financiers, délocalisation, production et consommation) ; nouveaux pluri-linguismes et frontières.
  • Nouveaux discours sur l’altérité : crises identitiaires, nouvelles anxiétés, insécurité, repli sur soi.

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